• Chapitre 22

    Chapitre 22 : Aimanté à l'autre

    Je me retrouva seul dans ma chambre après qu'il sois parti.

    Je décida donc, d'aller prendre l'air. Je me dirigea la ou je m'entraînais avec El Cid quand j'étais encore son disciple.

    ( Que de souvenir...)

    Je leva la tête vers le ciel

    ( Les garçons ou vous en este dans vos recherche?...)

    ...

    Ils marchèrent, et arrivèrent enfin dans un petit village

    "- Sa doit être celui ci" dit le Sagittaire

    Il descendirent vers le  petit village et commencèrent à rechercher un garçon pouvant être la réincarnation d'Hadès.

    ...

    (Je pense qu'il réussirons à le trouver j'en suis sur)

    Je resta dehors jusqu'à la lune ce montre, j'aimais beaucoup l'air du soir...Il avait une odeur que j'appréciais beaucoup.

    "- Je croyiez qu'on devaient parler ce soir"

    Non surprise je me retourna  pas et aspira une grande bouffer du vent nocturne

    "- Oui, viens on va dans ton temple" dit-je en me dirigeant vers lui

    On arriva au temple et Dégel m'amena dans une pièce que je ne connaissais pas.

    Dans cette pièce il y avait une table basse en bois, une bibliothèque qui prenait le coin de mur, une petite commode sur la quel était posé du thé, et enfin un canapé.

    Il m'invita à m'assoir sur le canapé ce que je fit, et lui alla préparé le thé, puis le posa sur la table basse.

    Il me servi une tasse, qu'il me donna. Je la pris dans les mains, la chaleur de la tasse était agréable, et l'odeur du thé sentait si bon. Je prenais plaisir à sentir la chaleur sur mes mains et à sentir cette délicieuse odeur qui venais titilliez mes narines.

    Dégel me regardais comme ci il me dévorait des yeux

    Je fini par boire mon thé avec plaisir

    Puis Dégel engagea la discussion pas vraiment  comme je mis attendais

    "- ...Alors toi aussi tu... ressent la même chose?"

    (disons qu'il a le don pour aller droit au but)

    Je ne savais pas quoi répondre, car j'étais affreusement gênée

    "- ...Ton baisser en est la preuve... à moins qu'il ne sois pas sincère" dit-il en me regardant

    "- ...Je ne vois pas pourquoi il ne le serait pas"

    Je posa la tasse, et Dégel me pris le menton, l'amena vers son visage, mon cœur battait à tout rompre, il battait tellement fort qu'il m'en fessait presque mal.

    Mon souffle était saccadé, mes joues étaient chaude.

    Ses lèvres finirent par toucher  les mienne, et c'est la que le plaisir commença.

    Ses mains douce caressaient ma joue et descendirent jusqu'à mon cou, tendit que sa main droite se trouvais sur mon dos.

    Il me porta en marchant, il passa une porte et on arriva dans une pièce sombre ou seul la lumière lunaire nous éclairaient. Il me déposa en fessant attention, sur quelque chose de doux et moelleux à la fois. J'avais la tête sur un cousin qui semblais être en velours selon mon toucher.

    Il était au dessus de moi, je pouvais voir ses yeux briller à la lumière de la lune.

    Il me caressa la joue, et s'approcha pour me chuchoté à l'oreille

    "- A partir de maintenant ce sera le langage des corps..."

    Me dit-il tout en me caressant le ventre

    "- Ci tu a peur, ou que tu ne veux pas dit le moi, et j'arrêterais d'accord? Je ferais de mon mieux pour ne pas te faire peur" dit-il avec une voix rassurante

    Je  lui fit un signes de la tête comme quoi tout aller bien, et que j'étais d'accord

    Il ce redressa, commença à enlever son haut, et ce pencha de nouveau vers moi pour me détendre.

    Son corps était éclairé par la lumière faible de la lune, mais je pouvais voir  ce corps magnifique.

    Il commença à passer sa  main sous mon haut, tout en caressant tendrement mon corps.

    Il ouvra un par un  les bouton de ma chemise, ce qui dévoila la parti supérieur de  mon corps. Il ce pencha et fit de tendre baisser sur mon ventre, tout en remontant au niveau du cou. Me caressant toujours pour me mètre à l'aise,  il ce redressa de nouveau pour enlever son bas...

    Une fois fait il ce pencha vers moi en fessant glisser ses mains derrière mon dos, pour détacher mon sous vêtement, quand il l'enleva je mis mes bras devant ma poitrine un peu mal alaise.

    Pour essayer de me détendre il s'allongea sur mon corps, tout en retirant délicatement mes mains de mes seins désormais nue.

    Il me regarda avec ses yeux billant

    "- Tu n'a pas à avoir honte de ton corps..."

    Après m'avoir dit sa, il descendit avec la plus grande douceur, une de ses main pour me retiré mon bas.

    Je me crispa un peu, car je n'avais jamais fait ce genre de chose, et de plus Kardia en voulant me forcé, sa n'avait pas arranger les choses.

    Voyant mon inquiétude, et le fait de sentir mon corps ce contracté, Dégel me regarda d'un regard inquiète

    "- Tu a peur?"

    "-...Une petit peu..."

    Il compris vite que c'était la première fois que je le fessait

    "- Dans ce cas ceci te détendre peut être"

    Il prit la couverture et la mis par dessus nos corps

    "- Es ce que cela te rassure un peu plus?"

    Je fit un signe de tête voulant dire oui.

    Le Verseau recommença alors à faire glisser sa main avec douceur pour m'enlever mon bas, il le fessa glisser doucement, et une fois enlever, le fessa glisser en dehors du lit. Il me restait plus que ma culotte.

    Mon corps tremblais, car pour moi être sent mes vêtement c'est en quelque sorte perdre ma protection.

    Dégel sent rendit compte et fessait de plus en plus de caresses, qui venaient jusqu'à me caresser le poitrine. Toute ces sensations était nouvelle  pour moi, et c'était vraiment agréable. Je me détendit au  fur et à mesure de ses caresses.

    Me voyant un peu plus détendu il glissa sa main, toujours avec cette douceur, et m'enleva doucement le dernier bou de tissu que je portais.

    Je me senti un  peu en danger,  mais Dégel su encore me rassuré

    "- Ne t'inquiète pas tout vas bien, je ne le ferais pas t'en que ton corps ne sera pas d'accord"

    Il continua ses caresses que j'appréciais beaucoup

    ( Sa me plaie pas...il me fait des caresse alors que moi je ne lui fait rien...Je veux lui faire plaisir moi aussi)

    Je regarda le Verseau qui était entrain de m'embrasser sur le torse. Je pris tendrement son menton et l'embrassa.

    Pendant que je l'embrassas j'en profita pour passer au dessus, et lui en dessous, le baisser fini je me redressa avec un sourire, tendit que lui me regardais avec un regard à la fois interrogateur et amusé. Je me baissa pour à mon tour l'embrasser sur le torse ainsi que sur le ventre tout en le caressant.

    Je le regardais, et il semblais apprécier tout en étant légèrement gêner.

    A un moment ou je  l'embrassa dans le cou il me fit tomber sur le coter par surprise. On était face à face, les yeux dans les yeux.

    Il me sourit puis s'approcha pour m'embrasser, tout en serrant son corps contre le mien, il ce remis au dessus de moi, et colla tendrement son corps contre le miens, et c'est à ce moment que je senti quelque chose enté en moi.

    Il continuer à me détendre, en m'embrassant dans le cou, et en me caressant, mais cette voici il fessait onduler son corps d'une façon élégante, on voyait tout les muscles de son corps ce contracter et ainsi faire ressortir la beauté de son corps.

    Ses cheveux d'une vert émeraude glissaient avec un élégance des plus belle, ils fessaient comme une caresse de velours sur ma peau.

    Soudain la douleur ce fit plus intense tel que j'en serra les dents, le Verseau s'arrêta dans son mouvement et me dit à l'oreille d'une voix douce et rassurante

    "- A tu confiance en moi?"

    "- Oui..."

    Il me caressa de plus belle, et m'embrassa, puis repris le mouvement en fessant onduler de nouveau son corps splendide.

    Puis la douleur me fit affreusement mal, et au fur et à mesure que Dégel continuer son mouvement, la douleur disparaissait, et ce transformais en une sensation qui m'était encore inconnue, mais si... agréable.

    Nos corps atteignant leur limite, le Verseau ce retira en douceur, et s'allongea à coter de moi. Il me regardais, je me tourna vers lui en lui souriant, puis il me dit

    "- Tu est ci magnifique..."

    Je rougie

    Il ce rapprocha de moi et me pris dans ses bras

    "- Comme je te l'ai dit tu n'a pas à avoir honte  de ton corps, car au contraire il est magnifique"

    Je l'embrassa

    "- Pas autant que le tien qui est splendide."

    Il rougie et détourna le regard

    Il me serra plus fort dans ses bras, puis il mis sa tête sur mon torse.

    Sa respiration ce fit plus lente et régulière

    ( Il c'est endormi)

     Je passa ma main dans ses cheveux, tout en le regardant dormir, mais le sommeille, me rattrapa et je m'endormi à mon tour.